L’organisme culturel Wapikoni mobile devient un partenaire de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Selon une déclaration transmise par voie de communiqué, le Wapikoni agira à titre consultatif auprès de l’UNESCO «pour faire entendre les voix des jeunes Autochtones sur les questions qui les concernent, notamment en matière de droits autochtones et de patrimoine immatériel». «Le Wapikoni travaille depuis plusieurs années au renforcement de ses liens avec la Commission canadienne de l’UNESCO et l’UNESCO», mentionne pour sa part Manon Barbeau, cofondatrice et directrice générale de l’organisme.
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