Le cœur et la tête de l’industrie culturelle numérique oscillent entre la valorisation de la production locale et l’envie brûlante de la faire rayonner à l’international, avec toutes les difficultés que cela peut comporter avec les grands joueurs qui bouleversent les écosystèmes.
Jean-Robert Bisaillon, chargé de cours au Département de communication sociale et publique et membre du LATICCE, le Laboratoire de recherche sur la découvrabilité et les transformations des industries culturelles à l’ère du commerce électronique de l’UQAM, s’est prononcé sur la question dans un article du Devoir disponible en cliquant ici.