C’est bien connu, nos universités sont en crise, victimes d’un sous-financement chronique et maintenant confrontées à de sévères restrictions budgétaires de la part du gouvernement du Québec. «Un instant, pas si vite!» lance Martin Maltais, professeur spécialisé en financement et politiques d’éducation à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) qui fait valoir que les règles comptables ont changé il y a cinq ans. «Depuis 2009-2010, on comptabilise les fonds de pension et les déficits actuariels dans les états financiers des universités, dit-il, ce qui change la lecture de ceux-ci.» De plus, les universités mettent de côté chaque année des fonds pour de futurs développements.
Lire la suite du texte du Devoir.