La réouverture de Notre-Dame a pris des airs de grand-messe diplomatique samedi à Paris. Sous les yeux de chefs d’État ou de gouvernement, de riches mécènes et de fidèles de l’Église, la France s’est appliquée à offrir au monde un spectacle d’envergure internationale. C’est toutefois un futur chef d’État qui a surtout retenu l’attention : Donald Trump, qui a eu le privilège d’être reçu en tête-à-tête par Emmanuel Macron un peu avant la cérémonie. « C’est seulement la troisième fois depuis la Seconde Guerre mondiale qu’un président désigné [des États-Unis] fait un voyage officiel à l’étranger », souligne le chargé de cours Julien Tourreille, chercheur spécialiste de la politique étrangère et des États-Unis à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM, à La Presse.
Autres contributions médiatiques de Julien Tourreille :
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• Trump peut-il faire n’importe quoi ou y a-t-il des garde-fous?
• Le poste de président des États-Unis devient-il une arme politique?
• Radiojournal du 9 décembre – 6 h 00.