Les femmes représentent maintenant 14,3% des membres de l’Ordre des ingénieurs du Québec. S’il est évident qu’il reste un rattrapage à faire pour tendre vers un meilleur équilibre, force est de constater que cette proportion a augmenté sans faille depuis 1989-1990. Elle a même plus que triplé depuis les 4,3% de l’époque. La croissance est appelé à se poursuivre, mais son rythme demeure inconnu. «On voit une certaine croissance. Les femmes représentent 20% de la clientèle de 21600 candidats aux études de premier cycle en génie dans les universités au Québec. Le grand enjeu, c’est d’atteindre le seuil de 30% en 2030, fixé par Ingénieurs Canada (qui regroupe les ordres d’ingénieurs de tout le pays). On a du travail à faire», explique Kathy Baig.
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