Vidéosurveillance : les étudiants dénoncent le manque d’encadrement et de transparence de l’UQAM
L’UQAM se prend-elle pour « Big Brother » ? C’est l’avis de plus en plus d’étudiants et d’enseignants, qui dénoncent le manque de transparence et plaident pour un meilleur encadrement de l’utilisation des caméras de sécurité. « Il n’y a aucun encadrement pour la vidéosurveillance. Et quand on demande des informations, comme le nombre de caméras installées, on refuse de nous répondre en invoquant la Loi d’accès à l’information et en nous disant que ces infos risquent de compromettre la sécurité », a dit René Delvaux, représentant étudiant au conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal.
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