Transfert du déficit gouvernemental aux universités : une situation dommageable
Il aura fallu au moins une cinquantaine d’années pour bâtir, dans la foulée de la Révolution tranquille, un des systèmes universitaires les plus enviables tant par son accessibilité que par la qualité de la formation et de la recherche qui le caractérisent. Il aura fallu à peine quelques années pour que des décideurs politiques qui, pour la plupart d’entre eux, ont eu la chance d’avoir accès à une formation universitaire de qualité, plongent les universités dans une crise financière sans précédent.
Lire la suite de l’opinion d’Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement, Université Laval.