Traitement inéquitable envers l’UQ en Outaouais
L’intervention publique de Lise Bissonnette, présidente démissionnaire du conseil d’administration de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), dans Le Devoir du 31 janvier, est effectivement un «cri du coeur» qui doit être entendu et pris au sérieux par le gouvernement du Québec. Ce qui est vrai pour l’UQAM l’est aussi pour les universités du Québec en région. Cependant, de façon singulière, ce «cri du coeur» pourrait également venir des dirigeants de l’UQO.
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