Le Stickergate, un an plus tard
Un an après les évènements mouvementés concernant les autocollants qui avaient été apposés contre les portes de professeurs soupçonnés de harcèlement sexuel, le Bureau d’intervention et de prévention en matière de harcèlement de l’UQAM ouvre une enquête contre une étudiante alors que les preuves du plaignant semblent «peu convaincantes», selon un communiqué publié par le Syndicat des étudiant(e)s employé(e)s de l’UQAM. De son côté, l’Association des étudiantes en études féministes (AÉÉF) pense que, malgré les évènements de l’automne dernier, l’UQAM veut préserver la culture du silence qui règne à l’université.
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