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Pourquoi danser exclusivement en anglais ?


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Les écoles de danse du Québec utilisent presque exclusivement un répertoire de musique anglophone dans leurs studios, prétendant les goûts de la clientèle et la facilité.

Pourtant, la langue est bien secondaire lorsque l’on s’attarde aux paramètres musicaux selon Sandria P. Bouliane, chargée de cours au Département de musique. Selon certains, les paroles de musique francophones pourraient même servir de repères aux jeunes danseurs afin de les aider à mémoriser leurs chorégraphies.

Pour lire l’article paru dans La Presse sur le sujet, cliquez ici.

Sandria P. Bouliane publie un texte sur le foisonnement musical de Montréal


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La place de Montréal dans le monde de la musique et de la culture au Québec n’est plus à faire. La densité de sa population, l’abondance de ses ressources et son rôle socioéconomique en font un pôle incontournable. Au Canada, cette place est partagée avec ses soeurs, Toronto et Vancouver. La musique prend part au bouillonnement artistique montréalais et fait rayonner la culture québécoise. Pourtant, il n’y a encore aucun ouvrage scientifique substantiel sur l’histoire de la musique au Québec, écrit la chargée de cours au Département de musique Sandria P. Bouliane dans Le Devoir.

Sandria P. Bouliane contribue à la journée d’études J’aime les nuits de Montréal


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Incontournables dans l’histoire artistique du Québec, les cabarets de Montréal sont à l’honneur dans le cadre d’une journée d’études intitulée J’aime les nuits de Montréal, qui a lieu à la salle des Boiseries le 6 octobre. L’événement est organisé par le Département de musique de l’UQAM et le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). La chargée de cours en musique Sandria P. Bouliane fait partie de l’équipe de coordination de l’événement.

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