Qualité du français des enseignants : évaluation douteuse et gestion incohérente
Le ministre de l’Éducation, François Blais, affirme que les facultés universitaires d’enseignement acceptent des candidats dont la maitrise du français est trop faible et entend resserrer les exigences quant à l’admission de ces derniers : «On prend des étudiants qui sont trop faibles dans une discipline pourtant fondamentale parce que les professeurs, les enseignants, devraient être des modèles sur le plan intellectuel, sur le plan moral aussi.»
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