Le travail des artistes au Québec est-il payé à sa juste valeur ?


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Le monde de la culture québécoise offre une chance aux artistes d’ici d’exprimer leur créativité, tout en participant directement à la prospérité du Québec. Pourtant, malgré sa richesse et sa profusion, le monde de la culture semble aller de crise en crise: on le somme de s’adapter aux besoins du marché du divertissement, le gouvernement fédéral coupe le portefeuille servant à en soutenir les activités sous prétexte de compressions budgétaires et le gouvernement du Québec réduit de 20% les crédits d’impôt, dont ceux liés à la culture. Dans cette note socio-économique, l’IRIS étudie les conditions d’emploi des artistes et artisans du milieu audiovisuel francophone québécois et leurs réalités du marché de l’emploi afin d’évaluer de quelle manière la précarité s’est normalisée comme condition de travail dans ce secteur de l’industrie.

Productivité : le Québec est-il en retard?


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Dans l’espace public, plusieurs intervenantes et intervenants s’inquiètent d’une présumée faible progression de la productivité au Québec; ce qui limiterait la prospérité et mettrait même en danger la durabilité du « modèle québécois ». Dans une note précédente, nous avons d’abord démontré qu’il y a un écart important entre la progression de la rémunération des travailleurs et travailleuses et celle de la productivité, et ce, depuis trois décennies. Cette fois, nous nous attarderons à l’évolution de la productivité du travail au Québec au cours des 15 dernières années en la comparant à celle de l’Ontario et à la moyenne canadienne.

La prospérité passe par l’éducation, dit la CSQ


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« Si on renforce l’éducation, on renforce la prospérité », croit Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Cette dernière se lançait dimanche dans la campagne électorale, sans toutefois appuyer aucun des partis en lice. La CSQ déplore qu’on parle si peu d’éducation depuis le début de l’exercice et que, sur presque tous les thèmes qui sont abordés, les candidates et candidats ne parlent que de compressions des dépenses. La CSQ a par ailleurs noté qu’on n’entend à peu près pas parler de suivi à la suite du Sommet sur l’enseignement supérieur convoqué par le gouvernement Marois en février 2013.

Prospérité hypothétique, tarifs assurés


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Depuis cinq ans on ne parle que d’austérité : réduire les dépenses pour freiner l’augmentation de l’endettement public, voilà les mesures qui devaient favoriser le retour de la croissance à la suite de la crise financière de 2008. On sait maintenant qu’elles ont, au contraire, nui à l’économie. Le Parti québécois prétend désormais abandonner cette politique pour mettre le cap sur la prospérité. À la vue du budget présenté, on peut douter des prévisions de croissance du gouvernement, mais on peut surtout questionner les bénéfices que vont tirer les Québécois et les Québécoises des orientations budgétaires actuelles.

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