Une éducation internationale pour nos étudiantes et étudiants


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Le plus gros client du Canada, les États-Unis, se réoriente vers le protectionnisme. Les puissances émergentes transforment l’économie mondiale. La technologie révolutionne la nature du travail. Nous nous devons de préparer les jeunes Canadiens à relever ces défis. Nous aurons besoin d’eux pour établir des liens à l’échelle mondiale, élargir et diversifier nos relations de commerce, préserver les valeurs d’ouverture et de tolérance, et s’accomplir dans leurs rôles d’employé et d’entrepreneur au sein de l’économie de demain. Aujourd’hui, relativement peu d’étudiants canadiens aux études postsecondaires vivent une expérience internationale, soit 11% des étudiants de premier cycle. En France, environ 33% des étudiants de premier cycle effectuent une partie de leurs études à l’étranger.

Payer les études de vos enfants, oui ou non?


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Les études postsecondaires gagnent en popularité, mais les familles québécoises n’ont pas toutes la même vision quand il est question de soutien financier. Si certaines profitent des modes d’épargne comme le REEE, le CELI ou le REER afin de tout payer le jour venu, d’autres reportent le moment où elles choisiront de payer peu, beaucoup ou rien du tout. Cas de figure, trucs et astuces.

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Les étudiants sous-estiment le coût de leurs études


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Les étudiants postsecondaires sous-estiment grandement le coût de leurs études et l’aide que devront leur apporter leurs parents, selon un nouveau sondage. Le sondage en ligne, mené en juillet pour CIBC, révèle que 67 % des parents sont prêts à payer les deux tiers de l’éducation postsecondaire de leurs enfants, alors qu’en moyenne, les enfants croient que leurs parents ne paient que le tiers de la facture. De plus, 41 % des étudiants sondés jugent que leurs parents en paient trop. Ces participants ont affirmé que les parents ne devraient couvrir que le quart ou moins du coût des études de leurs enfants.