Des étudiants de l’Université Laval solidaires de leurs collègues de l’UQAM
Munis de bannières et pancartes sur lesquelles on pouvait lire «Non aux expulsions politiques», une centaine de militants et d’étudiants de l’Université Laval ont tenté à leur tour d’entrer dans les bureaux de leur recteur, Denis Brière, puis ont «occupé» le pavillon dans lequel il se trouve, jeudi après-midi. «Le recteur refuse toujours de nous parler. On demande une condamnation de sa part de la violence politique et policière utilisée [mercredi] à l’UQAM», a indiqué en début de soirée Annie Grégoire, étudiante à la maîtrise en sociologie à l’Université Laval, alors qu’elle participait à l’événement qui faisait écho à «l’occupation» de l’UQAM la veille.