La campagne de cette année est centrée sur l’élimination de la violence faite aux femmes dans l’éducation en prolongeant l’élan et les réalisations accumulés cette année, où plus de 700 organisations l’ont soutenue dans 92 pays. Le 25 novembre ne représente pas seulement la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, il marque également le début de la campagne mondiale annuelle «16 jours d’activisme contre la violence faite aux femmes», lancée en 1991. Ces 16 jours se clôturent le 10 décembre, Journée internationale des droits de l’Homme, afin de souligner que la violence faite aux femmes est un problème de droits de la personne. Cette année, autour du thème Ensemble, nous pouvons éliminer la violence basée sur le genre dans l’éducation!, les militantes et militants mettent l’accent sur les outils disponibles en matière de droits de la personne et sur le cadre de mobilisation mondiale en faveur de lois, de politiques et d’institutions plus efficaces pour effectivement prévenir et lutter contre la violence en milieu scolaire et alentour.
La violence contre les femmes se retrouve sous le feu des projecteurs
Kenya : les syndicats africains donnent la priorité absolue à l’éducation de la petite enfance.
Mauritanie : les syndicats d’enseignants unis appellent à sauver le système éducatif national.
Togo : les syndicats unissent leurs forces pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants.
El Salvador : 71e pays à approuver la Déclaration sur la sécurité dans les écoles.
COP23 : la conférence sur le climat, un coup d’épée dans l’eau.