Sécurité internationale : la francophonie n’est pas à blâmer, selon Julien Tourreille


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Dans un essai publié fin mars 2016 sur le site de la prestigieuse revue Foreign Affairs, les chercheurs William McCants et Christopher Meserole affirment que les attentats en France et en Belgique mettent en évidence une «vérité troublante». Constatant que quatre des cinq pays présentant le plus haut taux de combattants islamistes radicaux au monde sont la France, la Belgique, la Tunisie et le Liban, ils soutiennent que le «meilleur prédicteur de la radicalisation de combattants étrangers» est le caractère francophone d’un pays. «Cette thèse souffre de nombreux maux rédhibitoires, soutient le chargé de cours au Département de science politique Julien Tourreille. Il est est hasardeux de conclure que les pays francophones constituent un terreau fertile du terrorisme.»

Lire la suite de son texte publié dans Le Devoir.