Facebook, Google et Twitter sont jugés en partie responsables de l’interférence du Kremlin durant la campagne électorale présidentielle américaine de 2016. «Ils doivent prendre le blâme, dit le chargé de cours et politologue Julien Tourreille à l’antenne de Radio-Canada, notamment en admettant qu’ils jouent un rôle dans la propagation des fausses nouvelles. Il faudrait aussi baliser leurs pratiques comme on le fait avec les médias traditionnels.»