« Si on renforce l’éducation, on renforce la prospérité », croit Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Cette dernière se lançait dimanche dans la campagne électorale, sans toutefois appuyer aucun des partis en lice. La CSQ déplore qu’on parle si peu d’éducation depuis le début de l’exercice et que, sur presque tous les thèmes qui sont abordés, les candidates et candidats ne parlent que de compressions des dépenses. La CSQ a par ailleurs noté qu’on n’entend à peu près pas parler de suivi à la suite du Sommet sur l’enseignement supérieur convoqué par le gouvernement Marois en février 2013.
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