Depuis cinq ans on ne parle que d’austérité : réduire les dépenses pour freiner l’augmentation de l’endettement public, voilà les mesures qui devaient favoriser le retour de la croissance à la suite de la crise financière de 2008. On sait maintenant qu’elles ont, au contraire, nui à l’économie. Le Parti québécois prétend désormais abandonner cette politique pour mettre le cap sur la prospérité. À la vue du budget présenté, on peut douter des prévisions de croissance du gouvernement, mais on peut surtout questionner les bénéfices que vont tirer les Québécois et les Québécoises des orientations budgétaires actuelles.
Lire la suite sur le blogue de l’IRIS.