La CSN l’a récemment réitéré dans les consultations sur le projet de loi 28, l’instauration d’une assurance-médicaments publique et universelle s’impose au Québec. Plusieurs études, dont celle du chercheur Marc-André Gagnon de l’Université Carleton d’Ottawa, indiquent que l’instauration d’une telle couverture d’assurance universelle pourrait permettre des économies de plus d’un milliard par année. Ce gain s’expliquerait par une augmentation du pouvoir d’achat du gouvernement face aux pharmaceutiques et par un meilleur contrôle des coûts en général.