Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) déplore le fait qu’il n’ait même pas été invité en commission parlementaire pour commenter le projet de loi no 135, alors qu’il représente les premiers concernés: les analystes en procédé informatique du gouvernement. Le projet de loi prétend vouloir renforcer la gouvernance et la gestion des ressources informationnelles des organismes publics et des entreprises du gouvernement. «Encore une fois, le gouvernement veut nous endormir en ajoutant une couche de gestion pour solutionner un problème connu depuis longtemps, c’est-à-dire son incapacité d’attirer et de retenir les experts dont il a besoin pour reprendre le contrôle de son bordel informatique», déplore Richard Perron, président du SPGQ.