Printemps 2012 : Serge Ménard se vide le cœur


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« Je trouve ça épouvantable. L’ont-ils au moins lu, le rapport? » a lancé Serge Ménard, qui a dirigé la commission d’examen du printemps 2012, comme pour se vider le cœur. L’avocat et ex-ministre de la Sécurité publique est déçu. Déçu et un peu amer. Se confiant au Devoir, il s’est dit « attristé » de la réception de son rapport, qui a été torpillé par les libéraux et critiqué par certains policiers. Surtout, il ne prend pas qu’on dise qu’il avait un parti pris politique au moment de commencer les travaux de la commission mise sur pied par les péquistes. « Pourquoi détruire ma crédibilité dans l’opinion publique? » a-t-il dit, la voix empreinte d’émotion.

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