« Quand t’es précaire, tu prends tout ce qui passe ». C’est ce que me disait un de mes collègues de l’UQAM; en effet, tu montes des projets d’intégration pour avoir un peu plus de travail, tu fais des heures en « disponibilité complémentaire », tu essaies d’enseigner dans d’autres universités, ou au cégep, tu souhaites qu’un de tes cours soit affiché au trimestre d’été (c’est l’affichage complémentaire du 2 au 3 avril), tu espères que tu ne seras pas tassé par un.e étudiant.e au doc qui fait de la recherche pour un prof permanent, tu empruntes de l’argent « en attendant que ça se place », etc, etc, etc. Mais pour que notre fédération nationale connaisse la réalité de terrain de la précarité et ses effets sur la santé et qu’elle puisse faire les représentations politiques nécessaires en s’appuyant sur des données tangibles, les membres du SPPEUQAM sont invité.es à prendre un petit mais important 20 minutes et à répondre à ce sondage en toute confidentialité : Santé psychologique des chargés-es de cours Survey (surveymonkey.com)
Jean Régnier
Vice-président à l’information
Ont contribué à cette édition : Olivier Aubry, Nathalie Blanchet, Cathy Beausoleil, Lorraine Doucet, Laurence Castonguay Emery, Godefroy Desrosiers-Lauzon, Violaine Gasse, Simon Leclerc, Michel-Philippe Robitaille, Nancy Turgeon.