On apprenait dans le Devoir ce lundi que « les sommes allouées à l’accueil et à la francisation des élèves non francophones ont subi une « réduction budgétaire » arbitraire de 13,6 millions pour l’année scolaire qui vient de se terminer, soit 26 % d’une enveloppe de 51,4 millions consentie aux commissions scolaires à cette fin. » La Commission scolaire de Montréal ainsi que celle de la Capitale avaient choisi d’utiliser une partie de leur budget pour combler l’effet des coupes, dans un contexte où le gouvernement exige par ailleurs d’elles qu’elles ne fassent pas de déficits. Le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx a finalement décidé de réduire de cinq millions les coupes annoncées, qui avaient soulevé un certain tollé au sein de l’opposition officielle à Québec.
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