Deux ans après l’adoption du Plan d’action interministériel en itinérance 2015-2020, des groupes concernés se plaignent du manque de volonté politique pour le déployer et du manque de moyens dont il dispose. Ils déplorent que le plan ait été mis en œuvre de façon inégale selon la région. Dans certains cas, les ministères visés ont effectivement rencontré des groupes communautaires de leur région et ont commencé à travailler de concert. Mais dans bien des cas, le tout a traîné et traîné, ce qui fait que le plan n’a guère été déployé. Mais surtout, ces groupes dénoncent le manque de moyens pour véritablement lutter contre l’itinérance, qu’il s’agisse de mesures touchant le logement social ou les services sociaux, par exemple.
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Coderre met en place un comité sur l’itinérance.
Des centres d’injection supervisée en 2017, assure Denis Coderre.