À la suite de l’arrêt de la Cour d’appel rendu en février 2024, concernant la contestation de la Loi sur la laïcité de l’État (Loi 21), la FAE a décidé d’en appeler de ce jugement. La FAE a non seulement la responsabilité de défendre les droits de ses membres, à plus forte raison leurs droits fondamentaux, elle a le devoir de le faire. Il faut se méfier de la distortion qui est actuellement faite des chartes, canadienne et québécoise, et de la facilité avec laquelle les parlements suspendent nos droits fondamentaux en utilisant excessivement les clauses dérogatoires.