Liberté, je crie ton nom (au tribunal) !


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Richard Martineau, chroniqueur hyperactif (ai-je le droit de dire ça sans billet du médecin? c’est une figure de style) que l’on peut lire dans le Journal de Montréal et sur son blogue, qu’on entend à la radio, qui anime sa propre émission en plus d’être l’invité de plusieurs autres, Richard Martineau donc, dis-je, poursuit un média indépendant, un chroniqueur et un caricaturiste pour diffamation et atteinte à la réputation. De toute évidence, il ne leur reproche pas la perte de tribunes (et ce n’est pas un souhait, juste un constat)… Sous le couvert de la satire, est-ce qu’on serait allé trop loin («on» comme pronom indéfini, je n’ai rien à voir avec le texte)? D’un côté, disons les choses telles qu’elles le sont: je ne peux pas dire que j’ai apprécié le texte de Marc-André Cyr. D’un autre côté, la plume de Richard Martineau est loin d’être ma préférée. Je trouve que son style s’appauvrit avec le temps et qu’il attise bien plus les préjugés que la réflexion (ceci est une opinion qui, bien qu’étayée, demeure subjective et n’engage que moi). Mais il ne s’agit pas d’un procès pour déterminer lequel des deux chroniqueurs détient la «ligne juste».

Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.

Réaction de l’AJIQ–CSN : Protéger les journalistes indépendants contre les poursuites.