Il peut être angoissant pour les étudiants de première génération – dont les parents de l’étudiant n’ont pas fréquenté d’établissement postsecondaire ici ou à l’étranger – d’aller à l’université, mais un peu de soutien au bon moment peut faire toute la différence. Selon certaines études, ils représentent près d’un tiers des étudiants dans certaines universités canadiennes. Ils sont légèrement plus âgés que la moyenne des étudiants au premier cycle (de 18 à 25 ans) et proviennent souvent de familles à faible revenu où l’anglais est une langue seconde. En 2009, le taux de diplomation atteignait seulement 23 pour cent chez les étudiants dont les parents n’avaient pas fréquenté l’université, contre 56 pour cent chez ceux dont les parents étaient titulaires d’au moins un diplôme.