Alors que la convention républicaine s’ouvrait à Milwaukee et qu’il était question de la sélection du nouveau colistier de Donald Trump, J.D. Vance, quelque chose sans précédent s’est produit : pour la première fois de son histoire centenaire, un président du syndicat des Teamsters a pris la parole à une convention du Parti républicain. À toutes les élections depuis le début du siècle, les Teamsters — plus important regroupement d’ouvriers aux États-Unis — avaient appuyé la même formation : le Parti démocrate. Cette fois-ci, sans soutenir explicitement le candidat républicain, ils ne prenaient pas position contre lui. Et leur président, Sean O’Brien, a monté sur la scène d’une seule convention, ignorant celle des démocrates. Et cela explique ce qui va arriver ce mercredi 2 avril, annoncé — et promis — comme le jour de la libération par Donald Trump, rapporte Rafael Jacob dans un texte de L’actualité.
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