Comme c’est le cas pour de nombreuses crises humanitaires et catastrophes naturelles, le secteur privé est prompt à tirer profit de tout, ce qui explique pourquoi des efforts considérables sont toujours déployés pour faire en sorte que les enfants réfugiés et migrants bénéficient d’un enseignement public de qualité. Pour les entreprises d’éducation du monde entier, les réfugié(e)s et les migrant(e)s représentent une manne financière plutôt qu’une urgence humanitaire. Dans les camps de réfugiés tout autant que dans les pays d’accueil, les entreprises privées d’éducation cherchent à tirer profit d’une génération d’enfants déplacés.