Pillage d’eau, fracturation du sous-sol, contamination de l’air, danger de l’industrie nucléaire, privatisation des montagnes, érosion de la biodiversité… Si le Québec a pu échapper jusqu’ici à diverses tentatives d’agressions envers son territoire, c’est grâce à des groupes mobilisés, qui demeurent en alerte. Voilà la thèse défendue par l’ouvrage collectif L’héritage des luttes environnementales au Québec. Un souffle écocitoyen, publié sous la direction de la professeure émérite du Département de didactique Lucie Sauvé, de la chargée de cours en sciences de l’environnement Denise Proulx et de l’historienne Johanne Béliveau (M.A. histoire, 2010).