Sur son site internet, le Syndicat des étudiants et étudiantes employé-e-s de l’UQAM (SÉTUE) a publié un article intitulé « Syndicalisme de combat… pourquoi pas? ».
Dans ce texte, Mathieu Melançon, responsable des affaires externes au Syndicat, dénonce ce qu’il considère être l’abandon graduel du discours critique par les grandes centrales syndicales dans les années 90 pour plutôt se concentrer sur la défense des acquis et des stratégies de revendication populaire qu’il qualifie de « domestiquées ».
Il avance l’argument que le syndicalisme de combat, bien qu’il n’offre pas une route sûre ou facile, présente « une approche à la lutte qui souhaite prendre acte non seulement de l’expérience récente des mouvements sociaux mais aussi, et peut-être surtout, de la nature du système socio-économique dans lequel nous nous trouvons. »
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