La pratique des sages-femmes, qui privilégie la continuité des soins par la même professionnelle durant la grossesse, l’accouchement et la période postnatale, représente une alternative pour contrer le problème de violence obstétricale mis en évidence par plusieurs organisations et rapporté par bon nombre de femmes qui accouchent avec des équipes médicales en milieu hospitalier, soutient Lorraine Fontaine, coordonnatrice de la Coalition pour la pratique sage-femme du Québec.