La Ligue des droits et libertés (LDL) dénonce la répression politique qui a pris une nouvelle ampleur la semaine dernière à l’UQAM. Elle appelle la direction de l’institution et le gouvernement du Québec à intervenir immédiatement pour rétablir la situation dans le respect des droits. «Les événements du 8 avril trouvent leur origine dans la volonté du gouvernement de casser le mouvement dès le début du conflit, alors que les étudiant-e-s ne demandaient qu’à exercer leurs droits, plus particulièrement leur liberté d’expression et leur droit de grève», déplore Nicole Filion, coordonnatrice de la LDL.