Nouvelles du SPPEUQAM – 13 février 2025 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Entre vous et moi
L’entente de principe est entérinée, on passe à l’étape de la rédaction des textes. On s’en reparlera, mais en attendant, on entre dans un blitz de rencontres de formation, d’information et de discussion. Nous vous convions lundi prochain à un Atelier d’information sur la convention collective à 12h30. Il s’adresse à tous les membres intéressés à en savoir davantage sur divers aspects de notre convention collective dont l’attribution des charges, la déclaration et le lien d’emploi, la probation et les nouveautés sur l’enseignement en ligne. Un lunch sera fourni. La semaine suivante, il y aura des ateliers d’information sur les projets d’acquisition d’EQE pour la stabilisation le 24 février et sur la procédure de reconnaissance d’EQE les 26, en ligne, et 27 février, en présence. La période de demande annuelle d’EQE suivra du 8 au 13 mars. On entre aussi la semaine prochaine dans une ronde d’assemblées d’unité, le meilleur moment de rencontrer les collègues de votre département pour discuter entre vous de la dynamique de votre département ou école, le tout autour d’un bon repas fourni. C’est aussi le moment idéal pour les nouvelles personnes chargées de cours de s’intégrer au groupe. Vous trouverez les dates des assemblées dans l’Agenda qui suit. D’autres dates s’ajouteront la semaine prochaine. On est finalement dans la période d’affichage des charges de cours pour le trimestre d’été 2025 jusqu’au 21 février. Que vous appliquiez ou non sur des charges, il est important de mettre à jour votre statut d’emploi, une nécessité pour d’autres demandes dont les mises à jour de connaissances et les projets de perfectionnement. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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La ronde des assemblées d'unité : L'occasion de vous voir et de discuter entre collègues
Le SPPEUQAM commence la semaine prochaine la ronde des assemblées d'unité. Une vingtaine sont déjà à l'horaire (voir l'Agenda ci-dessus). C'est l'occasion de discuter entre collègues d'un même département ou école autour d'une bonne bouffe de sujets concernant votre travail dans votre département et de partager plusieurs informations sur notre vie syndicale et les dossiers en cours. Vous recevrez un bref rapport de vos représentant.e.s siégeant aux diverses instances ou comités de votre département et de procéder à l'élection de vos représentant.e.s locaux pour la prochaine année. C'est un excellent moment pour vous initier à la vie départementale, s'il s'agit de votre première fois. Vous devez vous inscrire parce qu'un dîner vous est offert.
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Atelier d’information sur la convention collective le lundi 17 février à 12h30
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Une séance d’information aura lieu le lundi 17 février, dès 12h30, au lieu social du Syndicat, A-R540, pour tous les membres intéressés à en savoir davantage sur divers aspects de notre convention collective. Le lunch sera fourni. On doit confirmer sa présence en écrivant à Amel Aloui. Comment fonctionne l’attribution de charge de cours? Comment dois-je remplir la demande de déclaration de statut d’emploi? Comment faire pour préserver mon lien d’emploi? Qu’est-ce que la probation? J’ai obtenu des EQE d’un autre département, que se passe-t-il maintenant? Cette séance est importante car elle se déroulera durant l’affichage principal des charges de cours, ayant lieu du 12 au 21 février, charge(s) de cours que nous donnerons (peut-être…) à l’été 2025. Les nouvelles personnes chargées de cours en apprendront ainsi beaucoup sur leurs droits. Tous les membres du Syndicat sont néanmoins les bienvenus, car certaines nouveautés issues de la dernière négociation seront abordées. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Nouvelles balises pour l’enseignement en ligne à l’UQAM : Entente acceptée à 85%
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L’entente de principe intervenue le 3 février dernier entre le Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM–CSN) et la direction de l’établissement a été entérinée à 85 % par un vote tenu mardi. Cette entente a permis d’éviter la grève des 2200 personnes chargé-es de cours de l’UQAM. Plusieurs éléments de la convention collective liés à l’enseignement en ligne ont été bonifiés. Un montant pour la préparation d’un nouveau cours sera dorénavant octroyé aux chargé-es de cours. Ce montant additionnel sera de 850 $ pour les cours donnés exclusivement à distance et de 400 $ pour les cours hybrides. Davantage d’heures de formation rémunérée ont aussi été obtenues. Gain historique, le SPPEUQAM est parvenu à inclure la notion de moyenne-cible à sa convention collective. Cela permettra d’assurer le maintien du nombre de charges données par ses membres, peu importe la direction que l’UQAM donnera à l’enseignement en ligne. Plusieurs clauses ont été négociées pour protéger les chargé-es de cours des dérives potentielles nées de l’enseignement à distance pendant la pandémie. Enfin, un projet pilote entoure désormais le développement de la médiatisation des cours asynchrones. Rien ne nous permet de garantir que le développement de l’enseignement en ligne ne se fera pas au détriment de l’offre de cours en présence. Les comités de programme devront toutefois évaluer la possibilité d’avoir au moins 50 % des cours en présence pour un sigle de cours donné à plusieurs groupes. La Commission des études sera également saisie du sujet pour baliser le développement de l’enseignement en ligne pour l’ensemble de l’université d’ici le 30 septembre. La couverture médiatique de notre entente : • L’entente de principe sur l’enseignement en ligne est entérinée à l’UQAM.
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Chronique de la négo : Une entente de principe pour accroître nos droits
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Les membres du SPPEUQAM réunis en assemblée générale le mardi 12 février ont adopté à 85% l’entente de principe négociée par votre comité de négociation avec la direction de l’UQAM. Voici un résumé du contenu de l’entente de principe qui peut permettre d’en faire une évaluation globale. Sur le développement de cours en ligne en complémentarité et non en remplacement de nos cours en présence, votre comité de négo n’a pas réussi à imposer des obligations de résultat à l’employeur. La direction s’est néanmoins engagée à entamer des démarches auprès de la Commission des études afin de favoriser le maintien de l’offre en présence. Si l’employeur a aussi refusé toute mesure permettant de diminuer la taille des groupes-cours pour les modalités d’enseignement en ligne, votre comité de négo a arraché un gain historique sur la moyenne-cible. Ceci assure au moins que les personnes chargées de cours ne perdent pas de charges de cours, peu importe la direction que l’UQAM donnera à l’enseignement en ligne.
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Atelier d’information sur les projets d’acquisition d’EQE pour la stabilisation le 24 février
Une séance d’information aura lieu le lundi 24 février, dès 12 h 30, en présence au local du Syndicat, A-R540, pour les membres qui souhaitent en savoir davantage sur le dépôt de demande de financement afin d’obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), dans le cadre de projet d’acquisition d’EQE pour la stabilisation. Un lunch sera servi. On confirme sa présence en écrivant à Benoit Coutu, agent de relation de travail. Ces demandes doivent être déposées lors de la procédure annuelle, du 8 au 13 mars, ce qui est impératif afin de pouvoir postuler à ces charges de stabilisation aux trimestres d’Été et d’Automne 2025 et à celui d’Hiver 2026. Ce processus d’acquisition d’EQE pour la stabilisation constitue un acquis historique de notre récente négociation de notre convention collective, en vigueur depuis le 22 décembre 2022. Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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Séances d’information sur la procédure de reconnaissance d’EQE les 26 et 27 février
Deux séances d’information auront lieu en ligne le mercredi 26 février (voici le lien pour y accéder) et en présence au local du Syndicat, A-R540, le jeudi 27 février, dès 12 h 30, pour les membres qui désirent obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). On y abordera, entre autres, la nouvelle possibilité issue de notre dernière négociation pour notre convention collective, soit de postuler sur des EQE d’autres unités académiques que celle(s) habituelle(s). Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. On confirme sa présence en écrivant à Benoit Coutu, agent de relations de travail. Un lunch sera servi le 27 février. Au plaisir de vous voir et d’échanger avec vous!
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L’intelligence artificielle bouleverse le monde de l’éducation et doit être mieux encadrée
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Le CCMM-CSN appuie la campagne «Renversons le poids de la précarité»
Le Conseil central du Montréal métropolitain - CSN appuie la campagne « Renversons le poids de la précarité » de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et de l’Union étudiante du Québec (UEQ). Face aux défis grandissants de la précarité financière, ça prend des solutions concrètes pour alléger ce fardeau : • Rémunérer les stagiaires • Actualiser l’Aide financière aux études • Lutter contre l’insécurité alimentaire. Ensemble, faisons entendre notre voix et mobilisons-nous pour renverser le poids de la précarité.
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Lancement de l’INEE : Des inquiétudes toujours présentes
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Le gouvernement Legault lance officiellement jeudi l’Institut national d’excellence en éducation (INEE), qui remplace le Conseil supérieur de l’éducation. Adoptée en 2023, dans le cadre de la récente réforme de l’éducation, la mise en place de cet institut suscite encore de l’inquiétude quant à l’indépendance et à l’impartialité de l’organisme. Dans un épisode de la saison 2 du balado Prendre les devants, le président de la CSQ, Éric Gingras, discutait avec les personnes invitées de la mission de l’INEE qui consiste, entre autres à faire la synthèse des connaissances scientifiques sur la réussite des élèves et à identifier les meilleures pratiques. Selon le professeur à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval, Simon Viviers, de passage au balado, derrière la mission de l’INEE se cache la vision que « le problème, c’est toujours la pratique du prof ou du professionnel et que cette dernière doit être surveillée et sanctionnée. » Pour écoutez l’épisode du balado dans son intégralité.
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La fermeture d’Amazon est un acte de terrorisme économique
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Un syndicat inquiet des impacts d’un projet de loi sur les jeunes et la persévérance scolaire
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Le ministre délégué à l’Économie, Christopher Skeete, a défendu son projet de loi, mercredi, alors qu’une certaine grogne se fait sentir face à la déréglementation touchant les heures d’ouverture dans les marchés d’alimentation et le nombre d’employés qui seront alors appelés à travailler en dehors des heures habituelles. Mais le grand syndicat qui représente 39 000 membres, la section locale 500 des Travailleurs unis de l’alimentation et du commerce (TUAC), craint les répercussions sur le travail des jeunes, la nuit, les horaires prolongés et la persévérance scolaire, rapporte La Presse canadienne. Le projet de loi apporte certaines modifications relatives aux périodes d’admission du public dans les établissements commerciaux. Les TUAC, affiliés à la FTQ, voient une contradiction entre ce projet de loi et la loi adoptée par le ministre du Travail, Jean Boulet, qui a encadré le travail des jeunes d’âge scolaire, donc jusqu’à 16 ans. « En 2023, le gouvernement a adopté la loi 19 pour protéger les jeunes travailleurs de moins de 16 ans. Aujourd’hui, il menace ces mêmes acquis pour les 17 ans et plus. En pleine semaine de la persévérance scolaire, c’est un recul incompréhensible », a critiqué Rosannie Filato, des TUAC 500.
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Manifestation le 22 mars : Toujours possible… d'être maître chez nous
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Un mouvement populaire contre la privatisation du réseau de la santé
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Transport adapté : une décision précipitée et inquiétante de la STM
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Monde social et de l'Éducation
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Étudiants et partis d’opposition dénoncent la fin hâtive des bourses Perspective
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Des partis d’opposition, des associations étudiantes et plusieurs organisations dénoncent la fin devancée du programme des bourses Perspective Québec, rapporte Le Devoir. Cette décision risque de précariser la situation financière de milliers de personnes qui aspirent à occuper des postes en forte demande dans la province, notamment dans les secteurs de la santé et de l’éducation, préviennent-ils. Ce programme permet depuis l’automne 2022 aux étudiants qui en bénéficient de recevoir, pour chaque session à temps plein terminée avec succès, une bourse de 1500 $ (au cégep) ou de 2500 $ (à l’université). Les nouvelles inscriptions devaient cesser d’être prises à partir de l’automne prochain, mais Québec a décidé de devancer cette date butoir à la session d’hiver en cours, afin d’économiser plus de 100 millions de dollars sur cinq ans, révélait Le Devoir jeudi. Or, « malgré ses écueils, la bourse Perspective constitue pour certains étudiants la seule aide financière leur étant consentie », a réagi sur les réseaux sociaux la députée libérale Madwa-Nika Cadet. « Vu la précarité de nos jeunes, offrons-leur une solution éprouvée : rémunérons les stages dans le secteur public », a-t-elle ajouté, reprenant ainsi une demande maintes fois répétée dans les dernières années par diverses associations étudiantes. Autres textes liés au même sujet : • La pénurie en génie, toujours un enjeu au Québec. • La FNEEQ-CSN demande que les sommes économisées soient réinvesties dans le programme d'aide financière aux études et invite le vendredi 14 février à midi à la Manifestation contre la coupe du programme Perspective Québec.
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Québec rabaissera ses cibles de remise en état des cégeps
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Québec révisera à la baisse sa cible de doubler d’ici l’an prochain la part des infrastructures collégiales en bon état dans la province, a appris Le Devoir. Plusieurs actions se mettent d’ailleurs en branle pour limiter les dépassements de coûts liés aux projets d’entretien et d’agrandissement des cégeps. En 2021, le gouvernement s’est donné comme cible d’atteindre une part de 70 % des infrastructures collégiales considérées comme étant dans un état satisfaisant d’ici le 31 mars 2026. Or, cette proportion a plutôt diminué depuis, passant de 49 % en 2022 à 35 % l’an dernier, laissant 65 % des bâtiments du réseau en mauvais état. En mai dernier, dans un rapport dévastateur, la vérificatrice générale du Québec, Guylaine Leclerc, avait d’ailleurs dénoncé le manque de financement destiné à la mise à niveau des cégeps, dont les immeubles accusent un déficit d’entretien évalué par l’État à 700,5 millions de dollars. Elle avait alors formulé six recommandations à l’intention du ministère de l’Enseignement supérieur, auxquelles celui-ci a depuis répondu par un plan d’action dont Le Devoir a obtenu copie en vertu d’une demande d’accès à l’information. • 13,6 millions de dollars destinés à des travaux n’ont pas été dépensés par des cégeps et des universités.
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L’Université McGill annonce des coupes en réponse aux nouvelles politiques du Québec
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Sur l’état de la démocratie scolaire, cinq ans après l’adoption de la loi 40
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Voilà maintenant cinq ans, le gouvernement centralisateur de la Coalition avenir Québec, allergique aux contre-pouvoirs, a décidé de retirer de son soulier un caillou contraire à sa culture du contrôle. Par le bâillon de la loi 40, il a sonné le glas des élus scolaires et mis en place des centres de services scolaires en lieu et place des commissions scolaires. Une loi d’une telle envergure devrait invariablement faire l’objet d’une évaluation rigoureuse après avoir disposé d’un temps suffisamment long pour s’articuler concrètement dans la pratique. Or, quels ont été les effets de la loi 40 sur le réseau québécois d’éducation publique, si ce n’est une marge d’autonomie grandement diminuée et un pouvoir accru du ministre s’adonnant à plus de microgestion ? On a beau l’évaluer sous différents angles, la loi 40, promue à l’époque par un florilège de phrases creuses, s’est avérée au mieux inutile, sinon néfaste pour la société québécoise. À notre avis, il faut redonner l’autonomie politique aux organisations scolaires, favoriser la participation citoyenne à son école publique et redéfinir les mandats de chacun des paliers décisionnels dans l’optique d’une complémentarité des rôles des actrices et des acteurs du réseau de l’éducation, soutiennent l'ex-président de la Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ) et l'ex-présidente de la Commissions scolaire de Montréal (CSDM).
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Qui protège les enfants des violences sexuelles dans les écoles au Québec?
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À l’occasion de cette Semaine de persévérance scolaire, il est important de rappeler que l’inaction du gouvernement à l’égard des jeunes victimes de violences sexuelles au sein des écoles engendre de lourdes conséquences sur ces derniers, mais également sur la société en général, rappelle les auteurs d'un texte d'opinion publié par Le Devoir. Depuis plus de sept ans, la loi P-22.1 protège les victimes de violences sexuelles dans les établissements d’enseignement supérieur, en obligeant les institutions à adopter une politique de gestion des plaintes et des mesures d’accompagnement et de prévention. Une avancée certes, mais restreinte aux cégeps et universités. Selon l’Institut national de santé publique du Québec, les personnes mineures représentent 62 % des victimes d’agressions sexuelles, alors qu’elles ne constituent que 20 % de la population québécoise. Derrière ces statistiques, il y a des vies, des milliers de personnes qui attendent d’être crues et soutenues. Pourtant, elles sont laissées pour compte par le gouvernement, qui refuse de mettre en place une législation qui engage les établissements scolaires primaires et secondaires à agir concrètement contre les violences sexuelles. Comment expliquer une telle inertie dans une société qui se dit soucieuse de l’avenir des jeunes ?
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Écoles publiques : Trop intense, l’anglais intensif ?
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Des élèves de cinquième et sixième année sont obligés de faire la moitié de leur année scolaire en anglais intensif dans des écoles publiques du Québec, rapporte La Presse. Ce parcours devrait être un choix et non une obligation, plaident des parents. L’anglais intensif a été implanté dans certaines écoles en 2011 par le gouvernement libéral de Jean Charest, qui souhaitait qu’à terme, tous les élèves de sixième année soient dans ce programme. L’idée a finalement été abandonnée, et il revient maintenant à chaque école de déterminer si elle propose ce parcours à ses élèves. Selon les plus récentes données du ministère de l’Éducation, 17 331 élèves du primaire suivaient un tel parcours en 2023-2024. La plupart d’entre eux étaient en sixième année. Nathalie Bouthillier a trois enfants à l’école primaire Hébert. La mère rappelle que ces jeunes ont été touchés par la pandémie, mais aussi par la grève des enseignants l’an dernier. Elle aimerait que son école de quartier lui offre le choix d’envoyer ou non ses deux autres enfants à l’école en anglais intensif, et comprend que certains parents dont les enfants sont en deuxième, troisième ou même quatrième année aient pu se demander, au moment de répondre au sondage de l’école, comment on pouvait être contre l’apprentissage d’une autre langue.
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Statut pour les parents et proches aidant.es : Entre la garderie et les bancs d’école
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« J’ai vécu des moments où je pensais que c’était mieux pour moi d’abandonner mes études et d’aller juste travailler, parce que je trouvais que c’était demandant », raconte Rose Angèle, étudiante à l’UQAM et mère de deux enfants. Depuis le 1ᵉʳ septembre 2024, les étudiant(e)s proches aidant(e)s ou parents comme elle ont accès à la politique 12 pour faciliter leur accès aux études à l’UQAM et leur réussite scolaire, rapporte le Montréal Campus. La politique a créé un statut de parent étudiant(e) et de proche aidant(e). « Avoir le statut [de parent étudiant ou de proche aidant] fait en sorte que nous ne sommes plus obligés de mentionner énormément de détails intimes sur notre situation familiale [à nos professeurs] », explique Donia Mansour, membre du conseil d’administration du Comité de soutien aux parents étudiants (CSPE) et elle-même mère aux études. Le gain le plus important est surtout « symbolique », considère-t-elle. « C’est un soulagement de savoir que, dorénavant, si je dois demander un accommodement pour manquer un cours, je n’ai plus à expliquer toute ma situation de A à Z », estime Lewina Giles, étudiante en sexologie et proche aidante auprès de son mari. Rose Angèle ne voit pas les choses du même œil. « Il aurait peut-être fallu mettre plus de mesures. C’est un beau document sur papier, mais sur le terrain, ce n’est pas pareil », avance l’étudiante en gestion des ressources humaines.
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Nouveau poste électrique : Hydro-Québec choisit le site à côté de la Grande Bibliothèque
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Montréal de tous les dangers pour les femmes en situation de handicap
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Circuler à Montréal est dangereux pour les personnes handicapées. Un nouveau rapport de la Table des groupes de femmes de Montréal met en lumière le sentiment d’insécurité permanent qu’éprouvent les femmes en situation de handicap lorsqu’elles sortent de chez elles, rapporte Le Devoir. « Je ne me sens jamais en sécurité dans l’espace public », résume une participante de la recherche-action Embarquez avec nous !. Chaque sortie devient rapidement un parcours du combattant pour les femmes en situation de handicap. Il faut braver les trottoirs et les ruelles glacées ainsi que l’absence de rampes d’accès, les comportements dangereux des automobilistes, les chantiers et les aménagements urbains mal conçus, sans parler du harcèlement de rue. Selon les témoignages recueillis dans le rapport, les transports collectifs réguliers sont souvent considérés comme non sécuritaires et inaccessibles. Laurence Parent a beau siéger comme vice-présidente au conseil d’administration de la Société de transport de Montréal (STM), elle le reconnaît : c’est l’installation d’ascenseurs dans les stations de métro de Montréal qui est le dossier le plus urgent en matière de mobilité.
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Revenu viable à la Baie-James
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L’IA, un nouveau front pour la désinformation
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Des deepfakes visant à influencer des élections aux agents conversationnels relayant des fausses nouvelles, la pollution du monde de l’information apparaît comme l’un des grands dangers du recours croissant à l’intelligence artificielle (IA), rapporte l'Agence France-Presse. Le déploiement rapide de cette technologie, au cœur d’un sommet mondial en cours à Paris, a déjà nourri ces dernières années l’essor de la désinformation, en lui offrant de nouveaux outils redoutables. En Slovaquie, en 2023, un enregistrement avait fait grand bruit : on y entendait le chef d’un parti pro-européen y admettre que les élections législatives allaient être manipulées. Il s’agissait d’un hypertrucage (deepfake), un contenu truqué grâce à l’IA, qui a pu influencer des électeurs. Partout dans le monde, des responsables politiques ont déjà fait les frais de ce type de procédés, à fort potentiel de viralité sur les réseaux sociaux. Autres textes sur l'intelligence artificielle et le Web : • Pouvoir d'influence : L’IA ne peut pas remplacer les humains partout. • Microsoft lance une fondation pour « une IA responsable ». • L’IA jugée plus empathique que les humains. • Au tour d’Ottawa d’interdire l’utilisation de l’IA DeepSeek sur certains appareils. • D’après le patron de Google : L’IA sera « le plus grand » changement « de nos vies ». • Travail, éducation, environnement… le sommet de Paris met sur la table l’impact de l’IA. • Trudeau soutient que l’IA ne devrait pas profiter qu’aux «oligarques ultrariches». • Les États-Unis s’opposent à un « dialogue mondial » au sommet de Paris sur l’IA. • Elon Musk et des investisseurs cherchent à prendre le contrôle d’OpenAI. • OpenAI «n’est pas à vendre», assure un dirigeant après l’offre d’achat d’Elon Musk. • De partenaires à ennemis jurés, la relation entre Musk et Altman menace OpenAI. • Action collective contre Facebook : L’entente de 9 millions devant le tribunal. • Vie numérique : Qui a besoin des géants américains ? • Vague de départs de X parmi les institutions québécoises. • Vie au travail : Ces écrans qui nous bouffent le cerveau…
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Payer pour se débarrasser de la congestion
La tarification de la congestion automobile à New York depuis le début de janvier – une première aux États-Unis – a amélioré la circulation sur les autoroutes et les artères principales de Manhattan. Dans le Grand Montréal, la congestion automobile coûte désormais 6 milliards par année à la société. La déteste-t-on assez pour la tarifer ? Un dossier de Nicolas Bérubé dans La Presse. Jean-Philippe Meloche, professeur à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal, note qu’il a périodiquement été question à Montréal d’imposer une taxe de congestion sur les ponts. Mais le problème avec cette approche, dit-il, c’est que 50 % des véhicules qui génèrent de la congestion viennent de l’île de Montréal. M. Meloche note que la zone qui s’étend du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), à l’ouest, à la rue Berri, à l’est, et du mont Royal, au nord, jusqu’au fleuve, au sud, pourrait hypothétiquement servir de base pour une tarification dans la métropole.
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Après le déni, le « retardisme » climatique
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Les trois quarts des Canadiens croient que les changements climatiques sont réels, mais moins de la moitié se sentent touchés, suggère une enquête du Centre pour les médias, la technologie et la démocratie de l’Université McGill, rapporte La Presse. Les discours visant à retarder l’action climatique font recette en ligne, s’inquiètent les chercheurs. Sur plus de 2100 Canadiens interrogés, 74 % ont dit croire que les changements climatiques sont réels, mais seulement 48 % estiment avoir été personnellement affectés, montre le sondage Abacus commandé par le Centre. « J’ai été très surprise par ce fossé. Au Canada, nous avons eu plusieurs évènements climatiques dévastateurs dans les dernières années, dont des incendies de forêt. Il suffit de regarder par la fenêtre pour voir ces réalités », a réagi la chercheuse principale du rapport, Sonja Solomun, en entrevue téléphonique. Les répondants étaient un peu plus nombreux à penser que les changements climatiques les affecteraient « dans l’avenir » (67 %). Mais ils estimaient surtout que ça toucherait « des gens dans d’autres pays » (75 %). Autres textes liés à l'environnement : • Ne pas bâtir dans des zones à risque permettrait d’économiser des milliards. • Des décisions de Trump ont une incidence sur la protection d’une forêt en Estrie. • Écosilence : des entreprises « ont peur » de parler d’environnement. • Les pays tardent à dévoiler leurs objectifs de décarbonation. • Table ronde : Appuyer sur l’accélérateur de la transition juste. • Une «ère de feu», de Los Angeles à Chibougamau. • Une période de réchauffement de plus de 1,5 °C à long terme entamée, selon des scientifiques. • Davantage de CO2 émis par les avions après la fermeture de l’espace aérien russe. • Nouvelle étude : L’Arctique se verdit… et relâche du carbone. • Sondage SOM-La Presse : Les pipelines ont soudainement la cote. • Perte de biodiversité : Une vaste étude pointe le rôle des pesticides. • La menace climatique pèse sur le chocolat, alertent des chercheurs. • «Progression fulgurante» des plantes exotiques dans le parc national de la Gaspésie • Îles-de-la-Madeleine : Un crabe inquiétant. • L’actualité verte de la semaine.
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Dénombrement de l’itinérance : « On sait que ça va augmenter »
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Un nouveau dénombrement des personnes en situation d’itinérance aura lieu au printemps. Si le dernier exercice mené en 2022 avait démontré une forte hausse du phénomène, cette mise à jour risque d’être encore plus sombre, s’inquiète le milieu communautaire, peut-on lire sur La Presse. « On n’a encore rien vu », prévient-on. « Tout ce à quoi on peut s’attendre, c’est une détérioration de la situation, indique la directrice du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), Annie Savage. Si on trouve que la situation est sans précédent et qu’il y a urgence d’agir, on n’a encore rien vu de ce qui s’en vient dans cinq ou dix ans. » Le grand dénombrement de l’itinérance se tiendra le 15 avril. L’exercice, qui revient tous les trois ou quatre ans, consiste à sillonner les rues pour compter les personnes en situation d’itinérance, en leur faisant remplir un questionnaire sur leur situation et leurs besoins. Autres textes liés au logement et à l'itinérance, avec la collaboration du RAPSIM : • Montréal conseille aux locataires de réfléchir à deux fois avant de déménager. • Itinérance à Dorval: une nouvelle halte-chaleur pour faire face à cette nouvelle réalité. • Des aînés risquent l’éviction malgré le moratoire au Québec. • Plus de 1400 locataires aînés évincés de leur RPA en 2024. • Des milliers d’enfants vivent dans les rues de la France. • L’homme qui nourrit gratuitement les gens. • La majorité des nouveaux logements abordables seront disponibles en 2026. • À partir de combien une hausse des loyers devient-elle un générateur d’itinérance économique? • Crise du logement : Et si on plafonnait les hausses de loyer, comme en Ontario. • Les coopératives d’habitation, une forme d’habitation méconnue du marché locatif. • Les prix de l’immobilier résidentiel grimpent à Québec et à Montréal en janvier. • Des hausses de la valeur foncière qui font mal aux propriétaires. • Des options pour se loger à moindre coût.
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Prix OPUS pour Frédéric Lambert
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Gabrielle Beaupré publie Présence attentive et autocompassion au service de la carrière
La chargée de cours en Éducation et pédagogie Gabrielle Beaupré vient de copublier le livre Présence attentive et autocompassion au service de la carrière - Moi, ma pratique, ma clientèle, en compagnie de Geneviève Taylor chez Septembre éditeur. Les personnes conseillères en emploi, en orientation, en ressources humaines, intervenantes psychosociale, coachs de carrière, gestionnaires, psychothérapeutes ou autre professionnel.les du développement de carrière sont souvent confrontés à la détresse, les problèmes de santé mentale et le désespoir lié à la carrière. Elles trouveront dans ce livre des façons d’utiliser la présence attentive et l’autocompassion avec les personnes-clientes pour améliorer leur connaissance de soi, leur planification de projets de carrière et leur actualisation tout au long de la vie, mais aussi diverses stratégies pour mieux prendre soin de soi en tant que professionnel.le.
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Il est possible de consommer autrement, soutient Marie-Michèle Larivée
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Difficile de ne pas se jeter dans les dépenses en période des Fêtes. Or, le retour à la réalité en ce début d’année 2025 peut entraîner un véritable casse-tête pour savoir comment payer ses factures. Et s’il fallait simplement revoir sa façon de consommer ? Au fait, est-ce si simple de changer de changer ses habitudes de consommation ? La chargée de cours Marie-Michèle Larivée en est en convaincue, elle qui a fait paraître il y a quelques mois le bouquin Rien de neuf, rapporte Nordinfo. En rédigeant ce guide, la Blainvilloise s’est donné comme objectif d’éclairer les consommateurs sur les options à leur disposition pour choisir la simplicité volontaire, sans y perdre au change. Dans son bouquin, Marie-Michèle Larivée propose des options pour vivre à moins de coûts : échange, location, marché d’occasion. Selon elle, la plupart de nos besoins peuvent être comblés sans pour autant nous enliser dans l’endettement. Surtout si ces besoins se matérialisent par des surplus, des gâteries et non par une nécessité.
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Julien Plante-Hébert sur la piste de la linguistique légale
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Pierre Barrieau répond à la question : L’O-Train géré par la province, ça changerait quoi?
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En pleine campagne électorale, deux des trois principaux partis politiques ontariens proposent de transférer les compétences d'OC Transpo relatives à l’O-Train à la province. Si cela se concrétise, qu’est-ce que cela changerait pour la société de transport municipal et pour les usagers? On fait le tour de la question. « OC Transpo continuerait à s’occuper de l’opération du réseau d’autobus, d’assurer la vente des titres, du marketing, du déploiement de réseau [et] de la refonte des lignes d’autobus », a expliqué le chargé de cours et expert en planification des transports Pierre Barrieau lors de son passage à l’émission Les matins d’ici mercredi. Le chef du Parti progressiste-conservateur de l'Ontario, Doug Ford, qui vise un troisième mandat, a proposé de confier le mandat à Metrolinx, qui a pris en charge les nouvelles lignes du train à Toronto. Le Parti libéral de l’Ontario a dit ne pas faire confiance à Metrolinx, préférant confier le mandat à une agence ottavienne. De ce fait, si la promesse électorale se concrétise pour l’O-Train, le mandat de l’agence pourrait varier en fonction du modèle, prédit Pierre Barrieau.
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Maude Lecompte trace un portrait nuancé de l'influence des applications de rencontre
Le fameux swipe à droite ou à gauche transforme-t-il notre parcours amoureux? Tour d’horizon de l’univers des rencontres à l’ère du numérique. Maude Lecompte, chargée de cours au département de sexologie et titulaire d’un doctorat en sexologie, le mentionne dès les premières pages de son livre Les applications de rencontre, publié aux Presse de l’Université du Québec : elle n’a pas rencontré l’homme de sa vie via une application. Mais elle les a elle-même testées. Ces plateformes redéfinissent-elles nos relations ou ne sont-elles qu’un nouvel outil au service des mêmes dynamiques amoureuses? Si elles ont parfois mauvaise presse, Maude Lecompte souhaite corriger le tir en dressant un portrait nuancé de leur influence. Québec Science l'a rencontrée pour en discuter.
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Éliane Dussault commente l'utilisation des jouets sexuels connectés
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L’usage de jouets sexuels est de moins en moins tabou, ceux-ci étant vendus dans un nombre croissant de commerces, y compris dans certains magasins à grande surface. Au cours des dernières années, on a vu apparaître les jouets sexuels connectés, aussi appelés télédildoniques, qui intègrent la technologie aux activités sexuelles. Ces jouets utilisent la réalité virtuelle, par exemple, ou permettent la connexion à distance avec des partenaires. En partenariat avec l’entreprise de jouets sexuels connectés Kiiroo, une équipe du Laboratoire EROSS a exploré pour la première fois l’usage des jouets sexuels connectés et le bien-être sexuel des personnes utilisatrices. «Comme les jouets sexuels connectés sont conçus pour reproduire le contact avec une ou un partenaire le plus naturellement possible, ils représentent une technologie intéressante pour promouvoir le bien-être sexuel des individus», souligne la chargée de cours Éliane Dussault à Actualités UQAM. Les résultats, précise-t-elle, démontrent une grande satisfaction envers l’utilisation des jouets sexuels connectés.
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YouTube souffle vingt bougies : récit d’une plateforme révolutionnaire avec Nadia Seraiocco
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Sherin Nawaito, panéliste à la conférence de l’ancienne patineuse Joanie Rochette
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Michel Vigneault : les hymnes nationaux n'ont plus leur place avant les matchs sportifs
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Un régime autoritaire aux États-Unis? Les inquiétudes de Christophe Cloutier-Roy
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Julien Tourreille : Trump 2, régime autoritaire ou réingénierie radicale de l’État?
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Rafael Jacob commente les résultats d'un sondage : Les Américains divisés sur Trump
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Les États-Unis sont plus divisés que jamais, révèle un nouveau sondage. Ce coup de sonde du Pew Research Center a été réalisé au moment où l’administration Trump « sort des idées super controversées de nulle part », souligne un expert. Donald Trump était impopulaire lorsqu’il est arrivé à la Maison-Blanche en 2017, lors de son premier mandat, avec un taux d’approbation de 44 %, le plus faible depuis l’ère Reagan. Cette fois-ci, il s’attire davantage d’appuis dans la population, avec un taux de soutien de 47 %, rapporte La Presse. « Trump vit une lune de miel, mais ce n’est pas énorme, commente Rafael Jacob, chargé de cours, auteur et chercheur à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM. Il demeure l’un des présidents les plus impopulaires à arriver à la Maison-Blanche. Son plafond d’approbation est bas, et on peut penser que ça ne changera pas dans les mois à venir. » Autres interventions médiatiques de Rafael Jacob : • Que veut Donald Trump réellement? • Le Canada peut-il réellement devenir un État américain? • Donald Trump, Taylor Swift et Kendrick Lamar : les éléments d’un Super Bowl politique.
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