Il y a dix ans, les 253 syndiqué-e-s du Journal de Montréal tombaient en lockout pour un interminable 764 jours.
Alors que le quotidien continuait à paraître avec l’aide de cadres, de pigistes et de l’agence interne QMI, et était encore acheté par le public, les employé-e-s lançaient leur propre média électronique : Rue Frontenac.
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