À la lecture des conclusions des États généraux de l’éducation de 1995-1996, il est stupéfiant de constater que les choses n’ont guère changé. Les derniers états généraux ne s’étant pas avérés un moteur de changement, pourquoi vouloir organiser en 2017 des États généraux de l’enseignement supérieur? Peut-être simplement parce que nous en avons le devoir! Nous espérons pouvoir dégager des pistes d’action, qui tiendront compte des diverses consultations gouvernementales et du calendrier électoral québécois.
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