Mardi, le président américain, Donald Trump, et son homologue russe, Vladimir Poutine, ont annoncé après leur appel une trêve partielle consistant en la suspension des frappes sur les infrastructures énergétiques de l’Ukraine pour un mois. Un cessez-le-feu complet semble encore hors de portée pour le moment. L’entente limitée soulève encore énormément de questions sur l’avenir du conflit, mais remet aussi en avant les relations russo-américaines. Le Devoir fait le point avec Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur en résidence à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand.