Alors que le Conseil européen s’apprête à discuter de la réponse à apporter par l’Union européenne aux 1 200 morts survenues en Méditerranée en l’espace d’une semaine, la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) adresse cette lettre afin d’exhorter l’UE et ses États membres à prendre des mesures immédiates pour empêcher la perte d’autres vies. Ces morts ne sont pas inévitables et la responsabilité ne peut pas être placée sur les passeurs sans scrupules. Il est temps pour l’UE de reconnaître qu’elles sont le résultat de choix politiques clairs.