En matière de chemsex, la recherche s’est surtout intéressée à la notion de plaisir et de honte. Mais qu’en est-il des autres émotions vécues par les personnes qui ont recours à des drogues de synthèse pour intensifier ou prolonger leurs relations sexuelles ? C’est la question que s’est posée Yannick Gaudette, chargé de cours et étudiant au doctorat en travail social à l’UQAM. Et c’est, selon Rose-Aimée Automne T. Morin de La Presse, une question qui mérite qu’on y réfléchisse collectivement.