Le Comité d’action locale du Centre d’éducation et d’action des femmes (CÉAF) s’est rendu compte qu’il n’existait aucune donnée sur le phénomène du harcèlement de rue à Montréal ni même au Québec. Ailleurs dans le monde, comme en France, aux États-Unis ou dans plusieurs pays d’Amérique du Sud, ce phénomène est très bien documenté. Cette absence de données fait en sorte que le problème du harcèlement de rue est considéré comme inexistant. En novembre 2016, le comité du CÉAF créait un questionnaire sur le sujet; 240 femmes y ont répondu. Dévoilée le 8 avril lors d’une journée de réflexion sur le harcèlement de rue, voici l’analyse des réponses à leur questionnaire (aussi offerte sur Google Drive).
Texte du Devoir relié au sujet : Le harcèlement de rue, une violence faite aux femmes banalisée.