Les études nécessaires pour obtenir un métier en sciences et technologies sont perçues comme difficiles par les élèves et «non accessibles à n’importe qui». C’est l’un des nombreux constats que dresse une étude menée par des chercheurs de l’Université de Sherbrooke et de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). «Cette lacune dans le développement de la culture scientifique» est un «constat inquiétant pour la progression économique et sociale du Québec», constatent les chercheurs.
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