Devant ce qu’ils décrivent comme l’inaction de l’administration face à des «comportements abusifs» et à de la «violence sexuelle» sur le campus, des étudiants de McGill se mobilisent. Depuis quelques semaines, leurs demandes font des vagues et ont même été entendues par la ministre de l’Enseignement supérieur. La tension est palpable à l’Université McGill depuis la publication, le 4 avril dernier, d’une lettre ouverte critiquant la «mauvaise gestion» des plaintes visant des membres du corps professoral. Écrite par les membres du conseil exécutif de l’Association des étudiants de l’Université McGill (AEUM), elle a depuis été signée par 2400 personnes et 101 associations et groupes étudiants.
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