Le professeur responsable des programmes de maîtrise et de doctorat en communication sociale de l’UQTR, Jason Luckerhoff, estime qu’Hydro-Québec est allée trop vite dans l’installation des fameux compteurs intelligents et qu’il n’existe pas assez d’études scientifiques vraiment indépendantes pour prouver l’innocuité de ces appareils qui émettent des ondes électromagnétiques dans les domiciles. Il en fera l’objet de son séminaire de maîtrise à l’hiver 2015. Quand on lui demande pourquoi les spécialistes universitaires du Québec ne se sont pas exprimés sur cet enjeu de santé publique, le professeur Luckerhoff réplique que «quand on a affaire à une société d’État qui investit beaucoup en recherche, ça pose des difficultés plus importantes.»
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