Tous les jours, des milliers de citoyennes et de citoyens s’adressent aux différents ministères et organismes publics du Québec pour obtenir des renseignements sur les programmes du gouvernement, pour recevoir de l’aide, faire valoir leurs droits et être accompagnés dans leurs démarches auprès de l’administration publique. Dans les centres d’appels de la fonction publique et parapublique, le gouvernement tente de calquer les pires façons de faire du secteur privé : • Cadences soutenues; • cibles de réduction de la durée des appels; • scripts obligatoires; • évaluations individuelles basées sur le volume d’appels; • surveillance de tous les instants. Comme la plupart des centres d’appels sont en manque d’effectifs : la pression augmente constamment sur les employées et les employés. Le personnel des centres d’appels réclame des conditions de travail et une organisation du travail humaines, pour des services publics de qualité, peut-on lire sur le site du SFPQ.