Le bien-être et la santé mentale des personnes étudiantes sont au cœur des préoccupations de l’enseignement supérieur. Entre la pression des résultats académiques, l’anxiété de performance et les exigences de l’apprentissage autonome, nombreuses sont celles qui voient leur santé mentale mise à rude épreuve. Une récente étude de portée, qui n’est pas encore publiée, menée par notre équipe de l’axe T5 sur les pratiques pédagogiques de l’OSMÉES met en lumière des pratiques d’enseignement, d’évaluation et d’encadrement pouvant soutenir le bienêtre étudiant dans les universités canadiennes. La chargée de cours en pédagogie musicale Catherine Tardif y a contribué et en explique les grandes lignes dans un texte publié sur Affaires universitaires. Les universités d’aujourd’hui accueillent une population étudiante de plus en plus diversifiée. Si cette ouverture permet un accès élargi aux études, elle s’accompagne aussi de nouveaux défis. Pression pour performer, charge de travail élevée et incertitude quant à l’avenir sont autant de facteurs de stress.