Dans une décision remise aux parties le 20 mars, le Tribunal administratif du travail (TAT) a donné raison sur toute la ligne au Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD). Dans une requête déposée le 8 mars, le syndicat reprochait à l’employeur d’avoir eu recours aux services de briseurs de grève dans le cadre du conflit qui dure depuis plus de trois mois. «Nous avons rassemblé des preuves concrètes qui documentaient la présence et le travail de personnes qui contrevenaient au Code du travail. Dès le 8 mars, l’employeur a reconnu le recours illégal à trois cadres engagés après le dépôt de l’avis de négociation, de souligner Yvon Therrien, président du STTHGPD. En tout, le juge a identifié cinq personnes qui ont contrevenu aux dispositions anti-briseurs de grève. Le travail des employé-es de l’agence de sécurité de l’hôtel a également été la cible de la décision on ne peut plus claire sur le sujet. Ceux-ci ne pourront plus accomplir des tâches courantes durant les horaires de jour et de soir.»
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