Le harcèlement à l’université : une «bombe à retardement»


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Le hasard a voulu que le scandale des dénonciations anonymes pour harcèlement sexuel qui visaient trois professeurs à l’UQAM éclate la même semaine où s’y tenait un colloque sur les relations amoureuses et sexuelles entre professeurs et étudiantes. Pourtant, les deux événements sont reliés. Le colloque cherchait précisément à éviter que n’éclate cette «bombe à retardement».

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L’UQAM a ouvert une enquête à la suite de plaintes de professeurs.

Nouvelle plainte pour harcèlement à l’UQTR.