S’attaquer au problème de la violence à caractère sexuel sur les campus est un couteau à double tranchant, car publiciser le nombre de plaintes peut donner l’impression que les collèges et les universités sont des endroits dangereux pour les étudiantes. C’est ce qui explique la réticence de certains à prendre le taureau par les cornes. Mais le vent est en train de tourner un peu partout en Amérique du Nord et souffle jusqu’au Québec.
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Agressions sur les campus : le nombre de plaintes va augmenter, croit Hélène David.