Dans la foulée de la crise étudiante du printemps 2012, le gouvernement de Pauline Marois avait adopté des mesures en vue d’améliorer l’accessibilité à l’enseignement supérieur et sa qualité. Le retour au pouvoir d’un gouvernement libéral suscite des interrogations chez les leaders étudiants. « Quelle est la suite des réformes initiées lors du Sommet sur l’enseignement supérieur [tenu en février 2013]? Les libéraux ne nous ont pas donné de réponses pendant la campagne électorale », souligne le président de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), Tierry Morel-Laforce.
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